Immobilier et valeurs professionnelles : un mariage possible !
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- 16 octobre 2020 | Stéphane Pujol
Benoît Marin Vicente, responsable location et négociateur chez Immobilière Pujol depuis 2013, a fêté ses 40 ans en plein confinement. Un jalon de vie important à l’occasion duquel Benoît s’est retourné sur son parcours professionnel. Alors que la crise et ses conséquences continuent de toucher notre métropole durement, il a eu envie de partager avec nous ses réflexions sur son métier, nos valeurs et comment ceci résonne dans la période actuelle. Voici son témoignage.
“J’ai rejoint les équipes d’Immobilière Pujol en 2013. Avant cela, j’occupais un poste de gestionnaire dans le logement social. C’était au début une vocation, mais c’était devenu un poste dans lequel je ne m’épanouissais pas. A 32 ans, jeune papa, j’étais déjà constamment stressé et angoissé. Je faisais de mon mieux mais je ne me sentais pas considéré par ma hiérarchie, et il m’arrivait d’être menacé par les résidents ! Je ne me sentais plus du tout à ma place.
J’ai alors fait un bilan de compétence, qui m’a orienté vers les métiers de l’immobilier. Un résultat plutôt surprenant pour moi. Sur le papier, j’étais vraiment fait pour des fonctions de gestionnaire immobilier, mais quelque chose me chagrinait. Comme beaucoup de gens en effet je n’avais pas une image très reluisante des professionnels de l’activité. Globalement les agents immobiliers figurent régulièrement en bonne place dans les classements des métiers les plus détestés ! Malgré les efforts de Stéphane Plaza pour rendre l’agent immobilier un peu plus sympathique, la méfiance demeure, et les qualificatifs de “filous” ou “escrocs” ne sont pas rares.
Je me demandais comment il était possible que je trouve ma place dans cette profession. Pourrais-je rester fidèle à mes valeurs ? Je ressentais toujours aussi vivement le besoin de mettre du sens dans mon quotidien professionnel, être en phase avec mon éthique personnelle. Ce qui m’avait poussé à intégrer un acteur important du logement social était toujours vivant en moi. Sans grande conviction, je postulais alors à quelques offres.
L’histoire fait qu’à l’époque j’étais locataire d’un logement géré par l’Immobilière Pujol, dont j’appréciais le travail, en tant que “client”. Je me suis dit que quitte à essayer ce métier j’aimerais bien que ce soit dans une agence comme celle-ci. J’ai eu raison de tenter ma chance, car lors de mon entretien avec Stéphane Pujol j’ai compris qu’on pouvait être un agent immobilier “différent”. Je me suis retrouvé dans ses propos, son style de management et dans les valeurs de l’agence.
Je manquais tout de même de certaines compétences pour être au niveau d’excellence requis par Immobilière Pujol. J’ai donc d’abord intégré une licence professionnelle “métiers de l’Immobilier”. Lorsqu’il a fallu effectuer un stage pour valider mon nouveau diplôme, j’ai de nouveau contacté Stéphane Pujol, qui m’a donné ma chance. Dès que j’ai intégré l’équipe, j’ai ressenti une attirance pour des fonctions plus commerciales, et c’est finalement dans ce domaine que je m’épanouis aujourd’hui. Un choix que je trouvais risqué à l’époque mais que je n’ai jamais regretté, et encore moins aujourd’hui.
Au fil des années, l’équipe m’a transmis autant de savoir-être que de savoir-faire. C’est entouré de collaborateurs compétents, intègres, fiers de travailler qualitativement et fiers de satisfaire leur clientèle que l’on peut soi-même s’épanouir, progresser et atteindre un certain niveau d’exigence et de compétence.
Aujourd’hui, alors que tout le secteur se trouve en plein tempête, dans cette crise qui n’en finit plus, nous avons à l’Immobilière Pujol un bateau solide, emmené par un Capitaine déterminé et qui montre la voie, en même temps à la barre et sur le pont avec son équipage, sûr de sa force. Grâce à notre système centralisé et à nos outils informatique, nos supports de travail dématérialisés, nous avons pu continuer à assurer un haut niveau de qualité de service à nos clients, même à distance. Mais le télétravail n’est pas la réponse à tout, et la dynamique d’équipe se vit nettement mieux dans l’agence. Nous concilions donc distance et présence au mieux, en gardant confort, sécurité et esprit d’équipe.
C’est en ayant été tenu éloigné de mon équipe que j’ai compris à quel point nous avions besoin les uns des autres. Et à quel point nous formions un équipage soudé. Dans cette grande période d’incertitude et de remise en cause, je n’ai jamais été aussi sûr de mes choix. Un véritable accomplissement 8 ans après avoir fait ce grand pas !”
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